Un format réduit mais une maxi formule pour cette 18e édition du plus populaire des festivals solidaires du bassin de Thau qui, après 3 années difficiles, a frappé fort en proposant une seule soirée certes (contre deux lors des précédentes éditions) mais gratuite (participation libre), marquant davantage un accès à la culture pour tous.
Comme chaque année depuis sa création en 2004, le Festipop, organisé par l’association Cultures urbaines sans frontières / CUSF, en partenariat avec la Ville de Frontignan la Peyrade et le soutien du Département et du Secours populaire, est en effet revenu en ce début de mois au plan du Bassin (contrairement aux précédentes éditions aux arènes Jean-François-André) pour une soirée festive, musicale et solidaire.
700 personnes environ sont venues danser au rythme et vibrations des grosses basses reggae et dub du Travel sound HiFi et de ses MC’s, installé aux côtés du Festibar, du Restopop, des stands d’information et de sensibilisation et autres exposition street art, démos de graffs, de skate…
Une belle réussite pour cette nouvelle formule qui permet au CUSF de poursuivre son engagement de longue date autour d’actions humanitaires et solidaires, en France comme à l’étranger.
Les précédentes éditions du Festipop ont ainsi permis :
• la construction de réservoirs d’eau et d’un château d’eau au Maroc
• la rénovation d’une maison pour enfants des rues en Roumanie
• une action contre la malnutrition chez les étudiants précaires en France
• la construction de 5 puits d’eau au Niger
• la découverte des vacances au ski pour 20 enfants issus de milieux défavorisés
• le financement d’un bus solidaire « Solidaribus », une antenne mobile du Secours populaire français qui permet d’aller à la rencontre des étudiants devant les universités.