Le film “Luna” d’Elsa Diringer avec Laëtitia Clément, tourné en partie à Frontignan sera présenté en avant-première, ce jeudi 22 février à 20h30, au CinéMistral en présence de la réalisatrice, de l’actrice principale et de deux jeunes acteurs de Frontignan : Tommy Masone et Tom Fontesse. En ouverture de soirée sera projeté “Enquête de clichés” un court métrage réalisé par quatre jeunes de Frontignan la Peyrade.
“Luna” de Elsa Diringer avec Laëtitia Clément
- Avant-première (sortie nationale le 11 avril 2018)
Luna vit près de Montpellier et travaille dans une exploitation maraichère. Elle est belle, drôle, elle dévore la vie. Elle serait prête à tout pour garder l’amour de Ruben. Au cours d’une soirée trop arrosée avec ses amis, ils agressent un jeune inconnu. Quelques semaines plus tard, celui-ci réapparait dans la vie de Luna. Elle va devoir faire des choix
L’actrice principale, Laëtitia Clément, a été repérée lors d’un casting dans un lycée nîmois. Elle partage l’affiche du film avec Rod Paradot, César du Meilleur espoir Masculin en 2016 pour son rôle dans “La tête-haute“, d’Emmanuelle Bercot.
Ce film tourné durant l’été 2016 en partie à Montpellier et à Frontignan avec l’aide de la Ville, a reçu le soutien de la Région Occitanie / Pyrénées – Méditerranée.
En partenariat avec Languedoc-Roussillon Cinéma.
⇒ Jeudi 22 février, 20h30. CinéMistral, Av. Frédéric-Mistral – Tarifs habituels du CinéMistral
“Enquête de clichés” un court métrage frontignanais
À découvrir également en ouverture de soirée à partir de 19h30 la projection du court métrage “Enquête de clichés” réalisé par des jeunes de Frontignan la Peyrade.
“Enquête de clichés” est une parodie d’émission d’investigation, qui parle de jeunes, de canapés et de clichés !
Marine, Greg, Quentin et Naoui sont quatre jeunes de Frontignan la Peyrade qui ont réalisé avec Otus production et le Département de l’Hérault une vidéo atypique sur les clichés véhiculés à propos de la jeunesse.
Respectivement comédienne, aficionado du BMX race, DJ et graffeur, ils ont connu des périodes où ils traînaient dans leur canapé en ne faisant rien de leur journée, jusqu’au jour du déclic qui les a poussé à sortir de chez eux, notamment grâce au soutien de l’Agence de la Solidarité du Bassin de Thau, porteur du projet avec l’association Cultures Urbaines Sans Frontières.
À la fois culturelle et sociale, cette action, financée par le Département dans le cadre d’un Cap Jeune collectif (à hauteur de 1 500 euros) et du Fonds départemental d’aide aux jeunes (à hauteur de 1 500 euros) témoigne des réserves de créativité que porte la jeunesse de notre territoire.