René FREGNI

Né à Marseille, vit où la Durance croise le Verdon, entre Haut Var et Alpes de Hautes Provences. Arrête l’école en 3e, bosse comme peintre en bâtiment, part en stop à Istanbul, déserteur emprisonné puis évadé, aide-soignant puis infirmier dans un hôpital psychiatrique à Marseille, il écrit son premier roman, Les chemins noirs (Gallimard), en 1988, et obtient le prix populiste 1989. Il a animé pendant vingt ans des ateliers d’écriture en prison. La ville de Manosque, la Méditerranée, l’errance et la beauté des femmes et des bruits de la nature sont au centre d’une œuvre noire pétrie d’humanité multirécompensée (prix Mottard de l’Académie Française 1990, Paul-Léautaud 1998, Antigone 2001, Jean-Carrière 2011, Malesherbes 2022…)

DERNIERES PARUTIONS Le chat qui tombe et autres histoires noires (L’Aube, 2017) – Les vivants au prix des morts (Gallimard, 2017) – Dernier arrêt avant l’automne (Gallimard, 2019) – Carnets de prison ou l’oubli des rivières (Gallimard/Tracts, 2019) – Minuit dans la ville des songes (Gallimard, 2022)

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